Libra Metamorphosis ( amadeus et lunela)

Après avoir vaincu les intempéries infernales du printemps qui cherchait vainement a s'echapper de l'étreinte de l'hiver, les paysages d'une beauté et d'une rudesse à couper le souffle, les temples antiques, les cartes imprécises, l'archéologue qu'était Oswald Carter, sommité dans sa profession, ne désirait pas laisser tomber devant un simple livre. Dérobé a la sépulture de quelque roi maudit, l'ouvrage avait une aura de mystère insoluble qui tentait plus qu'une femme le coeur de l'aventurier. Cependant, quoi qu'il fasse, il ne parvenait à découvrir son contenu. Le livre restait hermétiquement clos, et les quelques mages qu'il avaient pu rencontrer n'avaient pas pu l'aider. Alors, par monts et par vaux il cherchait celui pouvant réveler son contenu.

Cela créait en lui une psychose paranoiaque. Il ne s'en séparait plus de peur qu'on le lui dérobe. Il le portait toujours sur lui quoi qu'il fasse, mais c'était compréhensible, l'ouvrage était un bel objet susceptble de valoir cher. Superbement relie de cuir et de gemmes préceuses, il semblait presque irradier de lumière. L'archéologue dépérissait a mesure que l'envie croissait en lui....

Crépuscule. Le bar était bondé ce soir la. L'archéologue désespéré entra sans faire attention à ses congénères. Son regard perdu dans le vague, déja sans doute plus vraiment dans le même monde, lui donnait l'air d'un zombie mû juste par sa seule curiosité. Quelques maudites forces oeuvraient a lui faire perdre tout sentiment. Cela faisait déja un mois qu'il était en posséssion de l'ouvrage. Il tomba sur une chaise au bar, abattu, répétant une fois de plus la seule dernière chose qu'il désirait de ce monde :

- Savez vous ou trouver un puissant sorcier ?

Le barman songeur continua d'astiquer ses verres un instant puis le regarda. L'archéologue n'était plus que l'ombre d'un homme. Dévoré par le désire, ses habits étaients loques, son corps etait loque, son âme était loque. De plus il ne savait que lui dire mais le laisser dans l'embarras ne lui plaisait guere. Il pensait que le mieux serai de l'envoyer à un médecin compétent qui pourrait le soigner plutot qu'a un sorcier. Il pensa a l'homme qui logeait au village et avait guérit ses enfants de la fièvre. C'était un médecin itinérant mais il semblait fiable et lui avait rendu service.

- Il y a bien un homme qui pourrait vous aider je pense... Un certain M. Marchen. Il est un peu extravagant mais il me semble assez compétent.

Une lueur s'alluma dans le yeux du malheureux. Cette lueur là n'était pas celle qu'on trouve dans les yeux d'un homme sain d'esprit. Le tavernier, pourtant habitué aux bagarres et aux joutes d'ivrognes frémit devant l'expression de son client. Ledit client eut un sourire, le premier depuis longtemps, et ce sourire la dans l'esprit du barman, c'était celui de la faucheuse.

- Ou est il ?

Sans rien objecter, le tavernier répondit rapidement qu'il était dehors et le lui décrit brièvement. Oswald disparut rapidement, et ouvrant les portes de l'établissement à la nuit il se mit en chasse....

« La curiosité est un très vilain défaut ~»

«Mais c’est aussi un défaut très amusant ♫»

[HRP : Dites, vous voyez l'image vous? ]

Je ne me plains pas. Absolument pas. Si je ne voulais pas être reine, je ne le serais pas. Mais parfois ce que c’est ennuyant! En plus il n’y a pas moyen de sortir incognito. C’est l’intérêt d’avoir une double identité. Ou plutôt, c’est l’intérêt que j’y trouve, puisqu’en fait, c’est supposé servir en cas d’urgence, pour disparaître un temps de la société.
Ça explique pourquoi je me suis enfermée dans ma chambre en ordonnant que personne ne me dérange sous aucun prétexte, que je suis montée au grenier pour prendre des bouteilles de teintures, des lentilles de contact, des ciseaux et mes bracelets ensorcelés et que je suis sortie par les passages secrets pour ensuite, sous forme de louve, courir jusqu’à la frontière des terres du soleil noir.

Après, il n’y avait plus qu’à couper mes cheveux, mettre mes lentilles, teindre mes cheveux mettre mes bracelets pour camoufler mon odeur et mon aura et donner l’illusion que je suis un vampire et aiguiser s’aiguiser mes canines. À moins d’être vraiment très bien informé, très peu de personne font la différence entre les crocs d’un loup-garou ou ceux d’un vampire, sauf, évidemment si ledit loup est sous forme animal mais ce n’est bien sûr pas mon cas.
Je jetais finalement un coup d’œil au lac près du quel je m’étais arrêté. Il me renvoya l’image d’une jeune fille aux cheveux noirs corbeau, mi- long et un peu ondulés et aux yeux vairons verts et bleus. En plus ma peau pâle peut passer pour un signe de vampirisme, et pas nécessairement pour une indication sur ma nationalité.

Soupirant, je pris le temps de relaxer un peu avant de me remettre en route. Résistant à la tentation de me transformer pour aller plus vite ( la teinture ne tenant pas sur ma fourrure ), je décidais que j’avais envie d’un verre et me rendis au village puis déambulait au hasard dans les rues jusqu’à ce que je sente une odeur d’alcool. J’entrais et commandait un verre de vodka tonic que je bu ensuite tranquillement en laissant trainer mes oreilles. La plupart des conversions que captait mon ouïe de louve se révélèrent plus qu’ennuyante et je m’en désintéressais rapidement. Je finis cependant par entendre quelque chose qui piqua mon attention. Faisant mine de chercher quelqu’un, je tournais la tête pour fixer l’homme qui venait de demander au barman s’il connaissait un puissant sorcier. Enfin, homme… Peut-être plus un cadavre ambulant qu’autre chose. N’eût été son regard qui, bien qu’un peu ailleurs, semblait encore plus ou moins vivant et de sa voix que je venais d’entendre, j’aurais pu le prendre pour un cadavre.

Après une discussion assez brève avec le barman, l’étrange inconnu sortis. Je ne mis qu’une poignée de seconde à me décider à le suivre. Je finis mon verre d’une traite, puis sortit à mon tour du bar, aussi discrète qu’une ombre et guère plus bruyante. Repérant assez rapidement celui que je cherchais, je le laissais toutefois prendre un peu d’avance avant de le suivre à l’odeur, ma curiosité définitivement piquée.

(c) Ségo Soyana sur Epicode

Amadeus était en dehors du bar, incognito dans ce pays ou il avait été couronné, tête encapuchonnée et vêtu de son sempiternel manteau noir, si éloigné de l'air luxueux des vêtements royaux, qu'il a toujours rechigné à porter. debout, à côté de Stan, il était allé chercher ce dernier, pour s'enquérir de son état de santé, qu'il savait vacillant. le roux en question semblait dans un état convenable, ce soir là. Loin de l'agitation, un certain silence régnait.

Ce bar, il le savait , avait toujours été un repaire de curieux et d'aventuriers en tous genres, et il s'étonnait que personne ne soit allé houspiller les deux marginaux qu'ils semblaient être.

Passa alors, se dirigeant vers le bar, une jeune fille au teint pâle et aux cheveux noirs comme la nuit, et il lui semblait avoir vu des yeux vairons. Une vampire ? ici ? c'était peu probable, le lieu n'étant que peu fréquenté par ces créatures. il ne réagit pas, se contentant de suivra sa trace énergétique, inconnue et familière à la fois.

Peu de temps après, un homme au teint quasi-cadavérique, au regard dans les mêmes tons, sortit, comme fasciné par une chose qui semblait l'attirer dehors. Derrière lui, la jeune fille qu'il avait repérée auparavant. Son regard fou se posa vers stan, ce qui mit la puce à l'oreille d'amadeus. il se tourne vers lui et lui glisse "ceux là sont venus pour toi"

Dreams and Memory

« La mémoire est la sentinelle de l'esprit. »

Lorsqu'il était sorti, en cette soirée, sa femme avait essayé de le retenir au lit. Malgré son envie de partager un vrai moment agréable, il se sentait happé vers l'exterieur et la moiteur de la nuit. Le demi démon pensait a son frère, si loin, et a ce que lui avait fait subir pour rompre un temps le lien entre eux. L'Ordre ne devait sous aucun prétexte pouvoir l'atteindre, et surtout pas par le biais de William. Des breves vagues de souvenirs, provenant sans doute de ceux qu'il lui avaient volés, venaient lui frapper l'esprit par intermittence. Peu fréquentes néamoins, en cet instant précis elle le laissaient en paix.

Il ne sentit pas Amadeus arriver. Ses pensées divaguaient trop pour qu'il reste totalement à l'écoute de la réalité. Au bord de sombrer dans son royaume onirique, celui même dans lequel il entrainait quelquefois ses adversaires, une main posée sur son épaule le ramena au présent. Il sursauta et fit violement volte face, croyant à une agression. Lorsque son regard dd'acier croisa celui, calme du roi du soleil noir il se détendit. Il avait bien marché depuis la ou il logeait sans s'en rendre compte. Il se composa un air allègre devant l'inquiétude. Amadeus lui demanda commentt il allait, et lui menttit sans vergogne en lui affirmait que son état s'améliorait. Le vieux mage n'irait jamais mieux mais n'acceptai pas que l'on compatisse a ses problèmes. Il montra qu'il était en forme et cru voir un sourire poindre sur le visage du jeune homme.

Habitué à distribuer la mort, celui qui fut aux Enfer nommé Satan, s'était convertit en un guérisseur, celui qui réconforte. Cette nouvelle situation ne le dérangeait pas mais il n'y vivait pas entier. Il n'arrivait jamais à être pleinement lui même dans ce genre de cas, bien qu'il lui arrivait de s'amuser a jouer aux sauveurs. Puis, parlant de choses et d'autres il se détendit. Debout à coté de se bar ou il était déja passé quelques fois, il ne prit pas gare a ce qu'il s'y tramait. Puis un bruit de porte retentit et deux énergumènes étranges avancèrent vers eux.

"ceux là sont venus pour toi"

Il sentait une aura qui lui était agressive émanant de l'un des deux, un homme cadavérique, d'un état dégradé et usé. Il porta sa main au médaillon d'argent à son cou. La sensation lui était désagréable, mais avait pour effet de lui rafraicir l'esprit, embrumé par les fatigues de la journée. L'expression de l'homme-cadavre ne lui plus pas, l'autre était sans doute une quelconque curieuse qu'il ne prit pas le temps d'analyser. Il murmura à Amadeus pour toute réponse :

"Je ne suis pas très patient ce soir. J'espère que ce n'est rien d'important, mais cela ne me dit rien qui vaille..."

Ce coeur celui de cet human battait, pret a enfin assouvir ses envies, se libérer de ce mystèreen face de lui se tenait deux hommes dont celui qu'il cherchait. Quelle coincidence ! quelles chance ! Qu'il était heureux. Non il ne faut pas être heureux, pas encore, le livre n'est pas ouvert, il se pourrait que ce sorcier ne puisse pas l'aider. Un incapable comme les autres. Le Livre s'impatientait. Il avait été plaisant pour lui de boire l'essence et la voloné de ce jeune chercheur. Le Livre aspirait a ce qu'onn l'ouvre. Oswald dévisagea sa trouvailel. cet homme avait les cheveux rouges et longs comme on le lui avait décrit. Il avait un oeil gris dont le regard semblait vouloir le transpercer. Oh que c'était effrayant ! Etrangement le fremissement qui agitait son corps devant le magicien lui plaisait. Ce n'était pas de la peur, mais une excitation fébrile. Il sortit le Livre qui était toujours aussi resplendissant a ses yeux. L'ancien chercher le tendit devant lui vers cet homme.

- Ouvre le !

Il ne craignait pas qu'il refuse. Le Livre lui donnerais la puissance de le convaincre. Oui, il l'avais déja fait, mais les autres n'était que des incapables. Il sentait que celui la serai le bon, qu'il ne le décevrait pas. L'ouvrage sentait la presence des personnes amassées autour de son serviteur et sentait a leurs auras qu'a tous ils briseraient forcement sa prison, tot ou tard...

« La curiosité est un très vilain défaut ~»

«Mais c’est aussi un défaut très amusant ♫»

[HRP : Veuillez m’excuser pour le temps de réponse. ]

Mon instinct de louve en plus de ma curiosité étant piqué, je me déplaçais silencieusement, laissant le cadavre humain me devancer de plusieurs mètres et me contentant par la suite de suivre sa trace, son odeur étant très facile à pister, surtout qu’il ne semblait pas s’être lavé depuis un bout de temps. Le plaisir de la traque faisait ressortir encore plus mon côté louve, aiguisant un peu plus encore mes crocs. La facilité avec laquelle je décelais les odeurs dans les autres royaumes, loin du froid glacial de chez moi qui les couvrait un peu m’étonnait toujours.
Mon attention ne quittant pas un instant l’étrange inconnu, je m’interrogeais. Le peu de sang angélique et non-déchu qui coule encore dans mes veines s’affolait, me hurlant qu’il dégageait quelque chose de mauvais, ce qui, bien sûr, loin de me donner envie de partir et de me mêler de mes affaires, ne faisait que me rendre encore plus curieuse.

La marche ne dura pas très longtemps. Le mort qui n’était pas mort trouva rapidement celui qu’il cherchait, un homme aux cheveux rouge avec un œil gris et, je le remarquais rapidement, un médaillon en argent. Il n’était cependant pas seul. Un autre homme aux cheveux noirs que j’identifiais rapidement comme étant le roi de ce pays l’accompagnait. Mmh… Pas génial, comme situation. En général, lorsque je m’aventurais dans les autres royaumes non-officiellement et sous une fausse identité en plus, j’évitais les représentants de l’autorité. Bah, je ferais une exception pour cette fois. La curiosité est un très vilain défaut, mais nier que je possède indubitablement, ce défaut, serait stupide et inutile.

Je m’arrêtais à quelques mètres des trois hommes, assez près pour ne pas manquer un mot de leur conversation, mais assez loin pour ne pas avoir l’air de les espionner, puis pris un air faussement pensif. Mes cheveux noirs n’attiraient pas autant l’attention que mes longues mèches blanches dans l’ombre de la nuit et je comptais justement sur ce fait pour ne pas trop me faire remarquer.

(c) Ségo Soyana sur Epicode

[pas super développé desolé ^^"]
L'inconnu s était approché de Stan , lui tendant un livre empestant la mort, et lui ordonnant de l'ouvrir. Quel personnage arrogant ! Si sur de lui, alors qu'il faisait face à l'un des êtres les plus puissants marchant encore sur ces terres. Quelque chose clochait, c'était évident. Serait-ce ce livre, qui par sa simple présence, fait s'affoler intérieurement le Sceau, ou serait-ce l'air sur de lui et intelligent de l'inconnu. Celui-ci savait pertinemment ce qu'il faisait, et cela ne faisait qu'accentuer la méfiance d'Amadeus.

Quand à la jeune fille qu'il avait repérée, elle semble se contenter de regarder, ou s'est intéressée à autre chose...parfait...il pouvait maintenant se focaliser sur l'inconnu et son livre. Il avanca d'un pas, puis d'un autre, arrivant au même niveau que Stanford. posant son regard neutre sur l'imprudent, il lui demanda

"et qui êtes vous pour demander cela ?"

Ce faisant, il n'avait cependant aucune idée de la réponse qu'il pouvait attendre.Les apparentes capacités mentales de son interlocuteur tranchaient avec cette folie qui semblait l'animer. Il pourrait répondre avec amabilité, comme il pourrait leur sauter à la gorge pour obtenir ce qu'il veut

[je vais repondre en un post parce que flemme de switch et tout]

Celui qui était Oswald ne répondit même pas à Amadeus, le dénigrant totalement. Comme un automate il était réglé par son seul désir, et savais que le porteur du Sceau était bien trop stable pour que le Livre puisse tenter quoi que ce soit. Pour Stanford il était évident qu'il fallait refuser. Un livre tel que celui ci devait avoir été scellé pour une raison précise. Il remarqua que depuis sa demande impérieuse, l'autre n'avais pas bronché même pas pour répondre à Amaddeus. Et soudain, comme une vague venant ravager ses certitudes le doute l'assaillit. Des pensées qui n'étaient pas les siennes lui signifierent que lui aussi avait été en quête de savoir et que c'était de mettre un frein à ce savoir que de refuser l'honneur d'ouvrir un tel ouvrage.

De l'esterieur il restait figé, son oeil vif fixant un point au loin. Il entendait énamant de ce livre des voix damnés, des voix de personnes qui l'avaient apprécié et aujourd hui décédés. Un assaut contre sa stabilité spirituelle fut lancé par l'ouvrage maudit. Avant qu'il ne s'en rendre compte la précieuse reliure était dans ses maisn et avait à ses yeux un aspect déja plus désirable. Il sembla émerger un instant et jeta loin le Livre. Il se tourna vers Amadeus paniqué, ses mains plaquées sur sa tête, dans une étrange expression absolument pas rassurante.

- Je t'en prie empche moi de prendre ce livre... Fait en sorte que je ne puisse pas bouger...

Il leva son regard vers Lunela :

- Aide le qui que tu sois...

Mais l'ancien archéologue ne l'entendait pas de cette oreille et alla chercher son tresor pour le remettre rapidement dans les mains du vieux mage. Une fois de plus celui ci fut sous l'emprise du pouvoir du Livre qui commencait a prendre une ampleur considerable. L'ouvrage epuisait toutes ses ressources dans cela.

... Et l'inévitable arriva. Dans une explosion d'energie ils furent tous soufflés et le livre retomba au sol...

Ouvert.

[comme j'ai pas trop d'idees pour la malediction je vous laisse improviser sinon si vous avez pas d'idées non plus je m'en ttiendrais a ce a quoi j avais pense a la base]

« La curiosité est un très vilain défaut ~»

«Mais c’est aussi un défaut très amusant ♫»

[HRP : Veuillez m’excuser pour le temps de réponse. ]

Bon eh bien, niveau discrétion, c’est incontestablement raté. J’en eu la confirmation lorsque, après que le cadavre-vivant eu fourré son livre entre les mains de l’homme aux cheveux roux en lui disant de l’ouvrir et que ce dernier l’eût jeté au loin, peu de temps après, en disant au roi de l’empêcher de reprendre le livre puis, à moi, de l’aider.

Bon, la bonne nouvelle, c’est qu’au moins, ma couverture n’est pas grillée… Que j’ai ou pas décidé de l’aider n’eût pas vraiment d’importance, parce qu’aussitôt après, celui qui n’avait l’air ni tout-à-fait vivant, ni tout-à-fait mort alla récupérer le livre étrange pour le remettre entre les mains du médecin qui dût surement l’ouvrir, parce qu’il y eu une explosion d’énergie, puis le livre retomba au sol, ouvert. Aussitôt, mon instinct de louve prit le dessus, rallongeant et aiguisant mes canines et faisant luir mes yeux, leur donnant une couleur étrange, mélange de doré et de bleu pour un œil et de vert et de doré pour l’autre.

Grognant, je serrais les dents et fis de mon mieux pour éviter de me transformer, alors que mon instinct me hurlait de déguerpir, ce que je me refusais à faire, non seulement parce que me transformer grillerais ma couverture, mais aussi parce que je suis trop curieuse, et trop orgueilleuse pour fuir lâchement. Tout en essayant, à grande peine, de garder ma forme humaine, je me mis à fixer le livre.

[ J’ai pas d’idée non plus ^^’’ Et euh bah comme je ne sais pas ce que le verbe « soufflé » signifie, je n’en ai pas tenu compte, gomen =S ]

(c) Ségo Soyana sur Epicode

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